• Amour : point final

    Oh punaise !
    Je l'avais oublié celui-là !
    Et dire que j'en pense encore chaque mot !
    Connerie !

    Quelle est douce cette amnésie

    Sans émois, sans frénésie,

    Quand les sens s’ensommeillent

    Sans crainte de l’éveil 

    Au rythme des heures sans amour ?

    L’âme, en paix dans un corps mort,

    Glisse sans effort

    Vers l’indifférence

    Des sens.

    Alors passent, sereins, les jours

    Sans hurler à l’amour,

    Où se mêlent quiétude

    Et habitude.

    Mais tu as promené ton Sourire

    Sur les remparts de mon cœur,

    Et sans même un coup férir

    De mes résistances fus Le Vainqueur.

    Et peu me chaut que de ma reddition

    Un grand chagrin soit le prix

    Tant que tu tiendras ma vie

    Captive des geôles de la Passion.

    « Père Noël de MinoucheShow must go on »

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  • Commentaires

    1
    Mercredi 2 Juin 2010 à 00:05
    Je le trouve très beau ton poème. Je l'avais déjà lu, mais pas avec la même attention. Gros bisous
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