Cette chanson me harcèle à l'approche de la Fête des Mères.
Elle se répète dans ma tête, en une boucle vénéneuse mais... je l'adore.

Ces mômes m'ont fait un bien fou !
Ils m'ont fait sourire mais surtout, il m'on littéralement scotchée !

C'est bon quand rien en va !

En écoutant cette chanson, je n'ai pu m'empêcher de penser à des amies chères, ety finalement à toutes ces femmes qui subirent, subissent encore hélas, la brutalité, la violence de celui qu'elles aiment.

Fréhel, grande dame de la chanson d'avant guerre, a eu son compte de malheurs dans la vie mais quelle gouaille, quelle dérision mais aussi quelle lucidité et quelle modernité dans cette chanson que j'adore.

Ah Minouche ! Tu ne nous rajeunit pas... quoique...
J'ai retrouvé avec plaisir sur ton blog [Tes] Années 60 un clip (heu... scopitone) des Parisiennes. J'étais fan.
Elles ne firent qu'une carrière éclair mais laissèrent outre ce titre-là, un autre titre L'Argent ne fait pas le bonheur. Je me rappelle que dans les cours de récré on s'entraînait à danser comme elles.

Pour toi ma Minouche :

Plus ça va, plus ça me travaille.
Humeur du jour